on parle de ce qui n’existe pas. le communisme cité par l’auteur n’en est pas un. alors à quoi bon l’évoquer.
le communisme, le vrai , et inapplicable car il dépasse les capacités de la nature humaine, cupide, égoïste et lamentable.
dans communisme il y a « commun ». on possède un bien en commun (un immeuble par exemple) et les co-propriétaires sont appelés « communistes », c’est le texte légal utilisé aujourd’hui dans les comptes rendus d’assemblées de co-propriété.
le communisme suppose la mise en commun de moyens de production puis le partage équitable des richesses qui en découlent.
Or, l’être humain est incapable de cela car il est imparfait, jaloux et méchant par nature. les premiers Chrétiens étaient des communistes sous l’impulsion du Christ :
« il n’ y avait parmi eux aucun indigent, tous ceux qui possédaient des champs et des maisons les vendaient et déposaient le prix de ce qu’ils avaient vendu au pied des apôtres, qui faisaient des distributions à ceux qui en avaient besoin... »(actes-32)
l’église et le catholiscisme qui a suivi a vite lis un terme à cela, cupidité oblige.
alors l’article pourrait titrer « chose et libéralisme, deux faces d’une même médaille. » que rien ne serait changé.