@ l’auteur :
Je suis bon public, j’ai la larme facile et l’émotion à fleur de peau.
Votre récit m’a donc ému, vraiment.
Moi, tout me retourne : les bébés-phoques, la Mer d’Aral, les émeutes urbaines, les Pussy Riots, et j’en oublie.
En même temps, je m’inquiète pour tous les parents qui risquent d’avoir la surprise de leur vie lorsqu’un de leurs rejetons va leur faire un coming-out pendant le repas dominical, au moment de la dégustation de l’omelette norvégienne.
Il faut les comprendre, ils risquent de s’étouffer.
Il importe donc de les préparer avec doigté, si j’ose dire, leur laisser le temps de s’habituer, comprendre qu’ils vont peut-être gagner un beau-fils de plus.
Et bien sûr leur conseiller d’aller sur AVox, qui va certainement s’ouvrir davantage à toutes ces passionnantes situations, et qui sait, rivaliser un jour avec Sophie Davant.
Dans le même registre infini, on pourra raconter plein d’histoires touchantes dont certains commentaires donnent déjà l’avant-goût savoureux.
Pour ma part, je commence à écrire mon témoignage : j’ai été violé par le facteur, puis séquestré par des routiers bosniaques, et enfin embauché sous la contrainte à la hotline d’Orange.
J’espère que cela intéressera beaucoup de gens.