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Votre article ne replace (surtout pas ?) comme il se devrait l’action pussy riot dans le contexte qui prévaut en Russie, c’est à dire les entreprises de déstabilisation par le biais d’ONG franchement antigouvernementales financées par l’ambassade des USA à Moscou. Déligitimisation de l’élection de Poutine, manifestations diverses, campagnes de presse ... Ce phénomène à été dénommé « agression douce » et s’inscrit bien dans un politique des puissances plus occidentales, tellement plus humanistes, plus démocratiques, tellement bien intentionnées, sans aucune arrière pensée.
Ce n’est pas pour rien que la Douma (et pas Poutine tout seul comme le fait croire la presse) a voté une loi classant ces ONG comme « agents de l’étranger », en cohérence avec leur financement.
Pussy riot s’inscrit dans ce cadre, il ne s’agit que d’excitées vindicatives peut-être sincères mais complètemment connes et manipulées. Poutine n’en a rien à foutre et était prêt à oublier (il a des sujets plus important à traiter, vous ne trouvez pas ?), ces sont ses partisans qui commencent à en avoir sérieusement marre.
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