Bien évidemment il y a fort longtemps que je n’achète plus ces feuilles de choux et je suis cruel pour ces pauvres légumes. Il faudrait employer un terme plus saccageur que la décence m’interdit d’employer, cependant on pouvait les trouver -( les feuilles de choux)- jadis, dans certains lieux d’aisance, ce qui valut au pauvre Berurier, inspecteur de police de son état cher au cœur du commissaire San Antonio, de se promener avec le postérieur maculé de caractères calligraphiques signalant qu’une fuite de gaz avait fait deux victimes dans un restaurant qui venait de servir du cassoulet !
Quel rapport avec l’article de l’auteur ? A première vue aucun, je le concède. A la rigueur la qualité incertaine dans un futur proche du cassoulet si l’on en croit nos chers éditorialistes. Vous me direz que mon propos est consternant et affligeant. Certes je le confesse ! Mais l’est-il autant que celui de ces donneurs de leçons rémunérés comme des seigneurs pour nous abreuvent de balivernes à longueur d’année ? Peu crédibles, suffisants, grassement rémunérés pour nous bourrer de théories fumeuses nous attendront impatiemment les cent jours à venir pour enfin relire avec délice les éditoriaux des cents jours passés. Merci pour votre patience et votre attention.
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