Shumpeter expliquait la force du capitalisme par la « destruction créative ». Il est important et nécessaire que les entreprises qui échouent pour quelques raisons que ce soit fasse faillite. La faillite est le crible darwinien de l’économie.
Alors bien sûr les banques devraient comme toute entreprise être soumise à la pression du milieu.
Sauf que l’État a détourné la monnaie de sa vérité, et les banques sont « too big to fail ». Sauf que l’État a crée le monopole de la banque centrale, le « prêteur en dernier ressort » censé assurer la viabilité du système monétaire à réserves fractionnaires(qui s’apparente à une escroquerie). Mais comme rien ne sort de rien le prêteur en dernier ressort caché est bien le contribuable, soumis à la violence étatique. Un prêteur bien involontaire.
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