C’est surtout que le refus récurrent de rapports conjugaux avec son conjoint ( uniquement en face à face et utilisant exclusivement les organes destinés à la reproduction : les juges ne sont pas des fantaisistes ni au fait des changements en cours avec le mariage homosexuel ) est jurisprudentiellement parlant constitutif d’une injure grâve récurrente assimilable à du harcèlement moral et que ça donne donc droit à un divorce aux torts du conjoint sexuellement récalcitrant d’après ce que j’ai lu par ailleurs.
Mais ça l’auteure n’en parle pas parce que ça ne va pas dans le sens de ses combats à sens unique.
Bref, le conjoint qui se refuse systématiquement à son conjoint se met dans son tort en matière de divorce outre le fait que c’est en soi pas sympa ni épanouissant pour les deux conjoints.
Pour ma part, je me réjouis d’ores et déjà de l’évolution de la jurisprudence induite par le mariage homosexuel qui va élargir la palette des comportements sexuels à accomplir avec son conjoint au nom de l’égalité des citoyens et des citoyennes : je sens qu’on va bien se marrer !
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