Réponse globale...
La dureté du parcours d’aaartiste ? Un tapis de roses à côté des obstacles à franchir quand on n’a pas été entretenu par Papa-Maman et conforté dans le choix d’une filière à chômage. Ils doivent partir sur les routes des semaines ? Oui, comme les chauffeurs routiers, certains pêcheurs et autres ouvriers de grands chantiers, moins bien traités, eux.
Encore une fois, les IS ont fait un choix de vie : qu’ils en assument les difficultés, sans pleurer dans le giron des organismes qui les indemnisent.
Ah, l’importance de la culture, des arts vivants, arts de rue et autres distractions à bobos : il faut être préservé de la faim ou des contingences matérielles pour faire primer le culturel sur le reste, comme les bonnes âmes de gauche.
Quand on pense que des municipalités, à cause du 1 % culture, offrent à leurs administrés - qui s’en moquent - des installations d’art contemporain à plusieurs centaines de milliers d’euros, tandis que des gens crèvent de faim ou de froid dans les rues de leur ville ! Demandez à un SDF s’il préfère un steak ou la contemplation des dernières déjections d’un Koons ou d’un quelconque « artiste » en vogue...
En période de crise, la culture n’est vraiment pas la priorité, sauf à considérer qu’elle endort les consciences.
@Foufouille : relisez, j’écris justement que le soutien de l’Etat devrait être réservé aux personnes qui en ont vraiment besoin (dont les « malades et les vieux »).
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