C’est pas compliqué. Le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière (il avait pas droit à l’espace Schengen à l’époque), sinon on aurait compris combien une catastrophe nucléaire peut être néfaste sur le plan de la santé pour nous et pour les générations à venir qui devront vivre avec le cancer. À notre niveau de bétise humaine, il faut attendre qu’une catastrophe nucléaire majeure arrive sur le territoire français pour qu’on décide d’arrêter d’alimenter cette chimère et qu’on se tourne vers les alternatives (qu’on ne me dise pas qu’avec les énergies renouvelables, le compte n’y est pas). Mais la catastrophe nucléaire va bien finir par arriver, quand on voit l’état de nos centrales et la manière dont sont forcés de travailler les futurs liquidateurs français (les actuels intérimaires qui font la maintenance des centrales dans ces conditions honteuses et lamentables) et on adapte les normes de sécurité en fonction de l’état de délabrement des centrales, et non l’inverse. Qu’est-ce qui va péter en 1er ? Fessenheim ? Chinon ? Le Tricastin ? Le Blayais ? Les paris sont ouvert...
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