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Le sondagophobe (---.---.126.57) 9 août 2006 14:42

J’ai été obligé de travailler avec des fumeurs qui savaient que le fumée me dérangeait, mais qui continuaient. J’en ai connu avec des cigares le matin.

Le tabac pollue, pue et tue. Mais il tue aussi les non-fumeurs trop tôt et les fumeurs pas assez vite.

Les lois anti-tabagisme ne sont pas respectées dans les entreprises. Pour aller boire un café, on est obligé de pénétrer un brouillard qui infecte et colle aux vêtements.

Pour acheter une vignette automobile naguère, on devait faire la queue dans un bureau de tabac qui empestait. Dans les restaurants qui n’ont qu’une salle, un coin non-fumeur sert d’alibi, mais la fumée et l’odeur n’ont pas su lire l’écriteau « espace non fumeur ». Dans les transports en commun, les gens fument même sous ces écriteaux. Dans les entreprises, idem. Alors comment faire confiance à un fumeur ? Malgré toutes les interdictions, il en allumera toujours une.

Le jour où les fumeurs seront plus civiques on pourra commencer à discuter.

Assimiler la mise à l’écart des fumeurs par un patron à la discrimination pour racisme ou pour rejet des handicapés est malhonnête. Comme il est dit plus haut, un fumeur choisit de fumer, lui.

Aujourd’hui les chefs d’entreprise rejette les fumeurs. Tant mieux pour notre santé, bien que ce ne soit pas ce qui les motive. En effet, ils viennent de se rendre compte du temps perdu par les fumeurs en pause clope et du coût induit de maintenance des services d’aération/climatisation.


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