Effectivement, « l’économie ne peut être dissociée de son environnement », celui de la nature dans laquelle nous puisons des richesses à l’épuisement car non renouvelable, tout comme celui de nature sociétal que l’économie est sensée servir en définitive, au lieu de l’exploiter, de ne satisfaire, véritable cercle vicieux, que les seuls moyens mis en œuvre... cette économie du moyen pour le moyen : du seul moyen qui se regarde technoscientifiquement le nombril !
C’est une vérité de Lapalisse : un développement durable implique une économie qui soit durable et non « crisique », voire « paroxysmique », « productiviste », comme le capitalisme, qui plus est, celui essentiellement financier !
Les mots ont un sens, étymologiquement, rien n’est plus proche du terme d’ « économie » que celui d’ « écologie » : l’un, l’économie, est la règle de la maison ou règle d’ensemble, quand l’autre, l’écologie, est la logique de la maison ou logique d’ensemble !
Il n’y a qu’une époque terriblement crétine, des économistes, qui ne sont pas réellement des tenants de l’économie, des économistes crétins et des politiques crétins, totalement incultes, embourbés dans leur dogme capitaliste, pour opposer « économie » et « écologie !
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