Non, Adolphosàronger n’est pas mort il pue encore...
Toujours aussi putride au clairon de psychopatiques haines
Quelle est sa fonction sociale, milicien anachronique rêvant de « pas de l’oie », vérat engraissé de chair et de sang qui n’a d’unique valeur le fauteuil où repose son visqueux fondement, yeux rivés à l’ écran aux seuls buts de médire, déverser sa morve fieleuse.
Qu’il n’a d’ami, de frère ou de Marie, il n’a de cesse que leur souffrance dont il jouit.
Ersatz du passé, déchet d’imagination perverse, il répand sa pestilence au son des canons, grotesque érection frelatée qu’il affiche, exhibition fétide....
Adolphos, participez donc au carnage, votre voie est tracée, mais la couardise qui submerge votre crane n’a d’égale qu’en l’acrimonie de votre propre solitude.
Vos borborygmes, flatulences et autres éructations ne sont rien, vous n’êtes rien, minable non-sens d’un immonde.
Taisez vous, vos bruissants cornages ne sont que vent.....
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