En réalité, dans le cadre familial, les violences sexuelles commises par les mères sont les plus nombreuses :
- Toilettages obligatoires et forcés (’viens prendre ta douche !’)
- Lavement systématique des parties sexuelles des jeunes enfants (des petites filles en particuliers, qui pourtant n’ont besoin de personne pour se savonner dès qu’elles savent marcher et parler)
- Interdiction des jeux sexuels aux enfants (les jeux de touche pipi, de docteur, etc.)
- Harcèlement psychologique, relevant de la jalousie, sur la vie amoureuse de l’enfant (« C’est qui ton amoureux/se ? vous vous faites de bisous ? etc. etc. »)
- Interdiction de la masturbation aux pré-adolescentes (10-11 ans chez les filles), et pré-adolescents (11-12 an chez les garçons)
A cela, dans les familles conservatrices et réactionnaires (ceux qui tiennent les propos les plus durs contre la pédophilie), s’ajoutent les sévices sexuelles d’ordre moral et religieux :
- Circoncision (conséquence gravisimme sur le plaisir sexuel à l’age adulte), excision
- Culpabilisation de la sexualité et des sentiments des petites filles (péché, etc.)
- Maintient volontaire dans l’ignorance des enfants vis à vis de tout ce qui concerne la sexualité (particulièrement grave concernant les règles)
Il est donc du rôle de l’Éducation Nationale de protéger nos enfants, tous nos enfants, les de la République Française, laïque et scientifique.
Il est du rôle de l’Eduction Nationale d’enseigner aux enfants, dès le plus jeune âge les fondamentaux de la sexualité et du plaisir sexuel, de leur rappeler qu’il n’y a rien de mal à prendre du plaisir avec leur corps, de leur rappeler qu’aucun adulte n’a le droit de les forcer à faire quoi que cela soit avec leur corps (toilettage et giffles compris).
L’éducation plutôt que la répression.