En 2002, tout le monde prédisait que Chevènement serait le troisième homme de l’élection. En fin de compte, si son score n’était pas risible, il était très loin de ce qu’on attendait. Il est improbable qu’il fasse mieux en 2007 : sa visibilité médiatique a été relativement faible ces dernières années et une partie de la gauche - à tort ou à raison - le rend responsable du 21 avril.
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