Le capitalisme mets au centre l’argent dans la société, et relaye le citoyen à un consommateur. Le porte-feuille de l’individu lui est versé, en fonction des futures capacités d’achats. Ainsi dès la faculté (d’ économie), on apprends qu’un bon porte-feuille versé est un porte-feuille vide en fin de mois.
Le salaire est le moyen de vivre dans
une société capitaliste. Ce versement permets à l’individu de
créer des budgets pour se loger, se nourrir, boire,ect...C’est un
panier financier obligatoire pour rembourser les différents budgets,
et établir un circuit de dépenses sans possibilité d’épargne, qui
est la manière de fonctionner du capitalisme.
Un individu fournit un travail, il doit
dans le même temps : payer son logement (location ou achat), payer
ses factures (énergie, assurances,ect...), payer ses impôts
(habitation, revenu,ect...), payer ses produits de consommation
alimentaire ou divers, et/ou ses emprunts, ou des dépenses de
loisirs.
Son panier financier qui provient de
son salaire a pour objectif d’être équivalent à toutes ses
dépenses. En d’autres terme, il ne peut pas capitaliser sur son
travail mais à capitaliser pour créer des bénéfices dans divers
secteurs d’ activités.
C’est une concentration des richesses
qui mets le salaire calculé comme moyen de développement du
capitalisme. Ce que l’on donne d’une main, on la récupère de
l’autre.
Seulement le coût de la vie augmente,
les salaires ne suivent qu’à de très rare occasion, ce qui n’est
plus le cas depuis longtemps, le coût de l’inflation. C’est un
écrasement durable de ses capacités financières, qui ne permets
plus à l’individu de faire face à ses dépenses, accompagner de la
spéculation (la hausse des prix), et par là-même de s’endetter
pour vivre.
Sur le marché, certains taux d’
intérêts issus d’emprunts sont très élevés (voire impossible à
remboourser), et autorisés. La spirale de l’endettement ou du
surendettement est similaire aux citoyens d’anciennes époques. Ceci
est et était considéré (à raison) comme une régression du niveau
de vie et de la société.
Une bonne redistribution permets à
l’individu, à la fois de participer à la société et, de pouvoir
utiliser une part qu’il pourra épargner (mathématiquement large),
ainsi que de se prémunir en cas de situations diverses ou anticipés.
Alors le citoyen et une part large de la communauté ont moins peur
de l’ avenir, et leurs autonomies s’en trouvent renforcer.
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