Ce qu’on sait, c’est qu’une population arrivée à un certain niveau de vie d’elle-même fait moins d’enfants. À un point tel d’ailleurs que beaucoup de pays riches ont une natalité en berne et que d’autres s’en sortent à peine avec l’immigration.
Sortir de la pauvreté est l’enjeu.
A ce stade l’objection est cette histoire de ressources naturelles finies, et tout le toutim, les 40 planètes nécessaires, etc.... Les ressources sont substituables et nous ne sommes dépendants d’aucune en particulier. N’avez-vous pas confiance en l’homme ?
Le « hors-sol ». Là je rigole : ça voudrait dire que nous avons l’obligation de « pousser » dans un petit carré bien vert.... surtout pas de voyages non plus... le pied quoi.
Les petites bébêtes qui disparaissent.... pitié vous allez me faire chialer. La vérité ? La pollution elle aussi recule avec la pauvreté.
Quand on a examiné de près toutes ces mauvaises raisons reste à comprendre les motifs cachés et inavouables de l’écologisme profond.
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