« L’état de l’Afrique justifiait-il le « prélèvements de population » dont vous osez parler ? »

Non, ce qui justifiait les prélèvements de population, c’est la perception que les blancs avaient des nègres. Ils découvraient des créatures toutes noires, souvent cruelles, vivant à cul nu, ils ne les considéraient donc pas vraiment comme des hommes.

« La plupart des Nègres, tous les Cafres, sont plongés dans la même stupidité, et y croupiront longtemps. », écrit Voltaire dans son Essai sur les moeurs.

Et il ajoute : « ... ce qui démontre qu’ils ne doivent point cette différence à leur climat, c’est que des nègres et des négresses transportés dans les pays les plus froids y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire. »

Les arracher à leur terre natale pour en faire des hommes de somme aux colonies n’avait donc rien d’immoral. C’est aussi qu’il n’y avait pas, en ce temps-là, d’Albert Jacquard pour expliquer que tous les hommes sont égaux, pour ne pas dire interchangeables.

Se fut-il trouvé un précurseur de notre omniscient biologiste que Voltaire l’eut expédié en une phrase : « Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les blancs, les nègres, les Albinos, les Hottentots, les Lappons, les Chinois, les Américains soient des races entièrement différentes. »

« L’esclavage arabe ou noir justifiait-t-il l’esclavage blanc ? »

Je ne sais pas. Moi, je ne m’intéresse pas à ce que font les autres, chez eux.

« Pour le « Nigeria, exemple emblématique des réalités africaines », quand on à eu Hitler, Mussolini, Franco et Staline dans le même siècle on n’a pas de leçon à donner... »

Je ne donne de leçons à personne, je constate qu’on paie, que le peuple n’en profite pas, mais où va le pognon, je m’en fous. En outre, pour ce qui est d’administrer des leçons, vous devriez voir avec tous ces « démocrates » qui prétendent imposer la partitocratie et les droidlommes au tiers monde.

« nous finirons dans un parc entouré de barbelés et de miradors pour nous protéger des hordes ennemies »

On n’aura pas le choix. Ce sera ou ça ou la submersion.

« et nous réaliserons que ce ne sont pas les autres qui sont en prison. »

Je préfère la prison avec des gens que j’agrée, à la promiscuité multiraciale et au bordel qui en résulte. Il y a pas trois semaines, on a appris qu’à Berne, en Suisse, des Camerounais engrassaient un cochon, dans la baignoire de l’appartement qu’ils occupent.