On eut apprécie lors des commentaires élogieux de la presse unanime, que l’un des recipiendaire, ait une pensée émue pour les peuplades (j’allais dire meteke niakoué mais..bon) étrangeres opprimées par le diktat de politiques inhumaines et humiliantes,
Je veux parler des grecs, italiens, espagnols, et autres contrées dont le niveau de vie est inversement proportionnel a la violence de sa police.
Mais quand on aime on ne compte pas n’est ce pas...un des corrollaire pourait aussi etre
"et ceux que l’on aime beaucoups...ils ne comptent pour rien..puisqu’on les aime.
Cette lecon vaut bien un fromage sans doute.
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