J’ai voté mon désaccord avec l’article.
Pour aujourd’hui, c’est sûr, il y a encore de quoi toute la population humaine en bio. C’est un problème de répartition inacceptable, et de gaspillages.
Pour demain, ,deux ou trois décennies, des capacités de production des écosystèmes affaiblies par le réchauffement climatique, associé à une population plus importante, ça va coincer. Ce ne sera pas seulement la faute au Capitalisme.
On a beau être des humains incalculables et très malins, quand y’ a pas assez, y’a pas assez.
Il y en a eu d’autres, des moments et des lieux où ça « a coincé », par exemple l’Europe au 14ème siècle (sans Capitalisme)...dégringolade de la population.
Là , ce sera global.