BladeRunner, de Ridley Scott, intense, une photographie magistrale, l’atmosphère glauque des mégalopoles, la densité des personnages est portée par de fascinants acteurs, Rutger Hauer et Sean Young ;
Duelliste convoque de la même manière aux rôles principaux des acteurs dont on ne peut imaginer qu’ils fussent tenus par qui que ce soit d’autre, tant ils paraissent habités par l’urgence et le désir de combattre.
Ridley Scoot est un sorcier impressionniste et le cinéma anglais aussi délicat que de la porcelaine Wedgwood (le jeu trouble et subtil de Glenda Jackson dans Sunday Bloody Sunday)
La critique relève une certaine rudesse réelle des prods US, elle est cependant à l’oeuvre lorsque dirigée par des talents, Kimberley Peirce, Gus van Sant ou bien Pollack.
Que penser de Katja Von Garnier reprenant la avec vigueur la flambeau de ses aînés ?
L’article exalte passion et entrain, le septième art parait en manquer, un plaisir pour le lecteur
qui pour le film dont il est question parait au moins suffisant pour le dispenser de le visionner.
Le soleil et ses rayons mutins fragiles est revenu,
c’est dommage !
Nous attendions les bourrasques d’automne,
la caresse des feuilles dansantes sur nos vêtements
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