Un général démissionne, un colonel est sanctionné et la structure de commande est frappé par une tempête de critiques inflexible : l’armée israélienne est en désordre du fait qu’elle fait face aux échecs de guerre au Liban.
Un mois après la fin de la campagne de 34 jours contre le Liban, les salves continuent avec la direction politique et militaire sous le feu pour leur traitement de la guerre échouée pour parvenir à un de ses objectifs.
Deux jours après que le commandant de l’armée nord d’Israël ait démissionné, il s’est avéré que le chef d’état major de l’armée Dan Halutz a sanctionné le chef d’une brigade blindée pour avoir critiqué un supérieur en face de ses subordonnés durant la guerre.
Il a été rapporté que le colonel Amnon Eshel, chef de la septième brigade, s’est plaint que son chef direct, le général Gal Hirsh, était « complètement coupé des réalités du terrain » alors que ses hommes mal préparés se battaient pour riposter aux attaques de roquettes du Hezbollah.
Halutz a « sévèrement réprimandé » Eshel pour ne pas avoir respecté la hiérarchie militaire et l’a suspendu d’une promotion pour deux ans, a dit un porte-parole de l’armée.
Le dernier incident, venant juste après que le général Udi Adam ait démissionné, indique le niveau de désordre dans l’armée.
