Encore une énième publicité pour un torchon écrit par un protégé de l’union des patrons des juifs de France, une officine soutenant ouvertement la politique criminelle de l’entité sioniste.
Cette fois-ci, il s’agit d’une interview menée par quelqu’un qui se présente comme « journaliste indépendant » d’origine maghrébine et qui comme par hasard valide les thèses nauséeuses du choc des civilisations. Ce journaliste est, comme son ami, proche des milieux ultra-sionistes, on ne peut cependant le ranger dans la catégorie dite des
« facilitateurs d’islamophobie » (c’est-à-dire des intellectuels de
culture musulmane cautionnant les délires islamophobes) mais plutôt dans celle des
« musulmans d’apparence de service ». Cette nouvelle catégorie d’acteurs a remplacé en quelque sorte les
« beurs de service » des années 80, ils se présentent comme des « experts du vécu », tiennent un discours fantasmatique sur
le « péril vert ». En fait, ce zanaz fait partie de ce que
Sifaoui a appelé un « mohamed de poche », celui de l’officine
anti-laique du protégé de la loge judéo-maçonnique b’nai b’rith, l’illuminé cassen.
Rôle que ce Sifaoui a refusé de jouer, il a expliqué cela dans un
article :