Il y a peu, dans un vieux numéro de Paris Match je prenais connaissance d’un pari que deux amis avaient fait à l’école. J’ai oublié si c’était à la Fac, au lycée ou à l’école maternelle, mais je n’ai pas oublié le contenu du pari : "Je serai un jour Président de la République, tu verras. Non, tu verras, ce sera moi qui y parviendrai avant toi". Elle s’appelait Ségolène et il s’appelait François. Ils sont restés longtemps amis, à concourir dans l’amitié pour gagner le pari. Elle a presque réussi la première mais c’est lui qui, un peu plus tard, l’a emporté en finale.
Je m’étonne qu’on s’étonne qu’il ait parfois l’air d’un enfant qui fait des caprices, et qui change souvent le contenu de ces caprices.
Je précise toutefois que je le trouve moins insupportable que l’enfant capricieux qui l’a précédé au même endroit. Mais pour combien de temps encore ?
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