@Guillaume Boucard :
"Querelle des chefs par ambition hiérarchique au mépris des militants, élections « plus ou moins » arrangées sur tous les bords, décalage absolu entre convictions et carriérisme, dégradation du niveau même du débat politique…alors ?« : ceux qui font passer leur conviction idéologique avant leur carriérisme ne font pas carrière en politique très longtemps, surtout s’il y a alternance. De même, ceux qui ont un affichage bien ancré, tout à droite ou tout à gauche. Pareil pour ceux qui ont un amour propre très fort.
Restent longtemps donc ceux qui sont prêts à avaler des couleuvres, à accepter une chose et son contraire. Et comme le disait une »girouette très célèbre« : »ce n’est pas moi qui change, c’est le vent« .
Notre histoire politique ne manque pas de tous ces types d’individus (rigoureux ou carriéristes). Pour information, comme exemple mais il y en a certainement d’autres, on peut citer : E Faure, P Mendès-France, De Gaulle.
PS Comment peut-on se réclamer du gaullisme et soutenir un gouvernement qui n’a jamais été aussi atlantiste que sous N Sarkozy ?
Question subsidiaire : quelle influence l’ »aile gauche" du PS tendance B Hamon ou autre H Emmanuelli espère-t-elle pouvoir avoir sur un gouvernement à orientation 100% social-libérale ?
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