Toujours aussi captivant, merci.
Dans Four lane road le pompiste paraît figé dans une espèce de rigidité cadavérique, soulignée par toutes les parallèles au bras droit, à laquelle sa femme, dont l’expression n’a certes rien d’attrayant mais est au moins vivante, semble vouloir l’arracher.
Ce tableau est morbide, alors que l’ambiance de Gas est chaleureuse : l’homme est actif, la maison éclaire jusqu’à l’autre côté de la route qu’elle humanise.
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