L’homme, tyran goulu, paillard, dur et cupide, Esclave de l’esclave et ruisseau dans l’égoût ; Le bourreau qui jouit, le martyr qui sanglote ; La fête qu’assaisonne et parfume le sang ; Le poison du pouvoir énervant le despote, Et le peuple amoureux du fouet abrutissant ;
Les Circés tyranniques ont un dangereux parfum...
Gérad de NERVAL.
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