En réponse à :
Bonjour et merci,
j’ai donc compris ce que je subodorai depuis un certain temps en faisant l’analogie avec les graines germées.
Il est vrai que lorsque je faisais aide-cuisinier comme job d’été, on m’avait appris à enlever le germe.
Sinon, en 1930, dans son livre « la science et le bonheur » Georges Lakhovsky indiquait que chez les populations consommatrices d’oignon le cancer était très peu répandu et il pensait que cela pouvait s’appliquer aux autres bulbes consommables comme l’ail.
Je me permet de poser une question : est-ce que la mastication véritable (mâcher jusqu’à obtenir un liquide que l’on avale ensuite) n’aurait pas le même effet que l’ail écrasé ou coupé ?
Concernant l’odeur : je pense que plus on a de toxines à éliminer, plus l’odeur d’ail exhalée est importante.
Mangeant beaucoup plus sainement depuis plus de 4 annés, l’ail faisant parti de ma salade végétale crue journalière, je n’exhale plus cette odeur de souffre caractéristique.
Encore merci de faire des articles révolutionnaires ! (en effet, l’ail est l’ennemi des draculas suceurs de sang comme bigpharma)
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