J’ai compris le bon sentiment, je n’ai pas adhéré ; on parle ici de l’absurde artifice de la vie et de la mort dans nos sociétés ! j’en suis si loin que rien qui vient de ce monde ne peut me toucher ; la vie, même réduite au battement d’une artère, c’est la vie, sacrée.
Qu’on se suicide quand il est temps si l’on se sait foutu ; qu’on déserte les chimio et hôpitaux si l’on ne veut s’y sentir dégradé, mais, une fois que l’on a vécu cette vie où notre santé était déposée entre les mains de tiers, quand on accepte les soins et les hôpitaux, merde, acceptons-le jusqu’au bout ! Et ne mettons pas l’être aimé dans cette insupportable dilemme , pour ma part, jamais je ne ferai mourir l’être que j’aime sauf à me suicider avec lui. Que les malades, que les mourants s’assument, merde !
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