Il y a tout de même un point d’accord possible avec l’auteur et avec Nelson Mandela : « C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé, qui détermine la forme de la lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’a pas d’autre choix que de répondre par la violence ».
Notre auteur aurait tout de même des leçons à prendre de Mandela et d’autres pour situer l’oppresseur ! Vu le niveau de ce type allez on dit tout : La Syrie fait partie des rebelles à ’’l’ordre international" (comprendre les USA et ses satellites), normal que du bordel lui soit envoyé ! Aujourd’hui l’oppresseur doit être cherché au niveau de la planète sinon on ne comprends rien aux conflits en cours !
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