Vous avez très bien synthétisé la situation en disant que vous la trouviez déplorable.
Je partage sans réserves votre avis.
Vous avez déjà expliqué d’une part la mécanique qui pousse les mères à se débarrasser au plus vite de leurs enfants, d’autre part la mécanique qui pousse les adultes ayant fait ce choix (ou pris ce parti) à le défendre mordicus, donc à l’amplifier.
Arrive la problématique de la culpabilité des adultes une fois la mauvaise chose faite.
Car pour eux, il semble impossible de revenir en arrière, de réparer.
Je ne sais pas comment résoudre cette culpabilité qui fait que la mécanique poursuit son effet nuisible.
Je sais seulement que si l’on ne trouve pas le biais pour la résoudre, la situation va se poursuivre en accélérant vers le coincement. (Je ne crois pas qu’il puisse y avoir un phénomène auto-guérisseur comme il s’en produit parfois sur d’autres sujets)
J’en viens à croire qu’à défaut de trouver une solution de déculpabilisation, il n’y a plus qu’à espérer quelque sorte de tsunami venu de je ne sais où pour qu’à sa suite, relevés de décombres, nous puissions tout remettre à plat sans complexes.
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