Le problème de l’immigration concerne la France mais aussi l’UE.
Il est policier, voir militaire. Il est diplomatique et bien sûr économique.
Pour la partie policière et militaire.
La mise en place de forces communes entre les pays du départ et l’UE pour lutter contre les négriers des temps modernes doit être proportionnelle au degré de démocratie constaté dans le pays du départ. Si la corruption et l’indifférence des dirigeants l’emportent sur la recherche du bien commun, il ne faut rien faire et maintenir le bouclage des frontières.
Pour la partie diplomatique et économique
Deux cas de figure existent :
Il y a ceux qui veulent quitter leur pays pour vivre ailleurs - les migrants -
Il y a ceux qui voudraient rester chez eux mais qui ne peuvent plus - les réfugiés économiques
Pour les migrants : la préparation de leur départ et de leur arrivée passe par des formations et des aides à l’installation - un système de quotas est sans doute à mettre en place pour éviter les effets d’entraînement.
Pour les réfugiés économiques : rester dans leur pays est toujours la meilleure solution pour eux comme pour nous - l’aide aux équipements collectifs et individuels est sans doute la solution.
Là encore, le degré de corruption et d’indifférence au sort des populations doit conditionner sans faiblesse notre participation dans la transparence aux yeux de la représentation nationale ou de l’UE
