Le pire dans cette histoire, c’est que Monsieur Lipietz a engagé une procédure qui aurait du rester une procédure de principe (il aurait pu se contenter de réclamer un euro symbolique de dommages et intérêts), va gagner de l’argent ( à moins qu’il ne déclare publiquement qu’il donnera cet argent pour une fondation quelconque) et tout ça au nom d’un devoir de mémoire alors qu’il a osé affirmer en substance il y a quelques années à propos du Préfet Erignac qu’il fallait savoir pardonner... Quand j’avais entendu ça, j’avais pensé à la veuve de Monsieur Erignac et à ses enfants, à qui Lipietz jetait en pleine face ce « pardon », lui qui se garde bien de pardonner les souffrances endurées par sa famille ( ce qui se comprend) mais qui en plus en titre un avantage financier, ce qui est proprement scandaleux. Ah, il est fort pour faire la leçon aux autres, et c’est à se demander comment il a pu devenir député vert européen. Enfin, n’oubliez pas que la SNCF vit gràce à l’argent de l’Etat et que c’est donc le contribuable français d’aujourd’hui qui va payer pour des crimes commis il y a plus de 60 ans. La routine habituelle du plumage de pigeon...
