Tout ceci montre que le réseau voltaire au niveau de l’analyse des conflits politique est d’un niveau dépasse pas celles qu’on peut insuffisant pour donner des leçons.
ses REPONSES consistant à des INJURES démontrent son extrême faiblesse argumentaire. En prime, il a démarré avec des légendes de photos dont il ne peut pas assurer le contenu : ça s’appelle de la PROPAGANDE et rien d’autre ; Comme le fait Meyssan avec Assad et leur bonne sœur préférée....
la branche libanaise fascisante bien connue, amie de Meyssan.... une ex-hippie fumeuse de pétards ayant eu une illumination religieuse...
Les bonnes sœurs entendant parfois des voix, je me suis dit que celle-ci peut être bien aussi. Les voix modernes du Net, aujourd’hui. Car elle savent lire, et celle-ci est tombé sur des écrits racontant a peu près la même chose que ce d’aucuns disent ; comme ceux d’InfoSyrie, par exemple, je vous remercie de me l’avoir soufflé (c’est le site qui vient à l’esprit, la dame habitant le pays). Effectivement, ce site assez particulier, à le lire, raconte la même chose qu’elle :l’histoire des méchants étrangers qui viennent embêter ce cher souverain si sympathique à cou de girafe. Tout cela écrit dans InfoSyrie, donc, fondé par un... français et créé par une entreprise française, Riwal, entreprise de communicationappartenant à Frédéric Chatillon (ici en photo avec LePen et Dieudonné !), que les lecteurs commencent un peu à connaître, vu qu’il a séjourné jadis au Gud et qu’il est allé boire des coups avec Marine Le Pen dans le bistrot du nervis de Riposte Laïque, l’ineffable Batskin, le gros bras de service en perpétuel pantalon militaire. Comme elle s’y sentait bien, dans le site, la mère Agnès-Mariam de la Croix, elle a fini par elle-même y écrire.. comme elle écrit régulièrement dans France Catholique, site chrétien revendiqué, où elle signe « par Agnès-Mariam de la Croix, higoumène (***) ». Au début, fort peu au courant des choses religieuses, j’avais lu « énergumène », elle m’en excusera je pense, les catholiques pratiquant la compassion. La dame abesse serait-elle sous infuence « Meyssanienne », en tant qu’abonnée à InfoSyrie, voilà qui démande à être examiné.
Car l’abesse, c’est visible, a un avis pré-mâché sur ce qui se passe autour d’elle : « aujourd’hui il ne fait aucun doute qu’il y a ingérence étrangère, refusée fièrement par une partie de l’opposition. Aujourd’hui il ne fait aucun doute que l’opposition s’est muée en divers endroits en une insurrection armée qui commet des atrocités contre la population civile et contre les forces de l’ordre et l’armée » sur la question« . Bizarrement, elle présente le même avis en effet que celui du boucher de son propre peuple et que celui de Chatillon,Meyssan et... Dieudonné, puisqu’il fait lui aussi partie du même lot d’admirateurs du régime, ne l’oublions pas. En somme en Syrie, selon elle, et selon une opinion qui semble bien dictée, ce sont donc les révoltés qui tuent le plus, et que s’ils le sont, révoltés, c’est parce que derrière il y a des espions venus de l’étranger qui les poussent à le faire. Un peuple pris dans un étau qui voudrait se libérer, vous n’y pensez pas, ça ne peut exister, on n’est pas en Egypte ici ! C’est plutôt comme en Libye ici sous Kadhafi : tout va bien, selon elle, c’est un peu circulez, il n’y a rien à voir. L’ONU a beau dire qu’on a franchi le cap des 5000 morts, ce n’est toujours qu’une frange d’excités qui en seraient seuls responsables. Voilà qui sent la manipulation, celle entretenue par les pro-Assad, dont fait partie Thierry Meyssan.
n réalité, on le sait depuis plusieurs mois. La cellule de contre-espionnage de la sœur pro-Assad a été démontée depuis. Dès le 19 novembre dernier, en effet, où la religieuse avait donné une conférence de presse organisée la veille au Centre Catholique d’Information, à Beyrouth qui avait donné lieu à une vidéo. Sur cette dernière, précise le journal le Monde, à 5’30 du début, la moniale avouait d’où provenaient ses »informations extérieures" : pas d’elle-même, encore moins de ses proches, mais tout simplement des moukhabarat , ces officiers de renseignement syriens qui gèrent tout dans le pays où tout va si bien. Des gens qui ont le bras TRES long, selon Amnesty International. Des gens dangereux, précise également l’organisation. L’auteur du texte révélant la supercherie ajoutant un détail troublant : l’abesse affirmait connaître les noms de toutes les forces de l’ordre tombées, mais pas celle des victimes civiles, dont le nombre dépassait déjà à l’époque les 3000, il est vrai (d’où les tenaient-elle, ces noms de policiers ?).