Je ne connais beaucoup de partis qui mettent la dette et sa résorption totale au coeur de leurs préoccupations, en dehors du parti que j’ai créé, l’IRC. Le FdG envisage bien une dénonciation partielle (ou totale) de celle-ci mais avec leur approche trop classique, l’effet serait désastreux sur la scène internationale (une perte de rang), avec toutes les conséquences que cela suppose sur les relations commerciales. DLR n’envisage qu’une monétisation partielle, donc étalée sur plus de 10 ans. Beaucoup d’intellectuels se vautrent d’ailleurs sur ce dossier, considérant qu’il ne représente pas un problème majeur.
En fait le problème est aussi celui de la représentativité des élites qui dès le premier choc pétrolier ont cherché à préserver à tout prix la marge bénéficiaire des grands groupes et un système de rente pour elles-mêmes. La solution ? Piller les « riches » (classe moyenne) ! Réimporter un système de domination post-coloniale !
Je rappelle que l’IRC défend depuis sa création l’idée d’une « monétisation » de notre dette publique sur projets francophones, un système bâti en 2008...