Parler des pauvres c’est bien et même nécessaire.
Mais ce qui serait mieux, c’est d’analyser, avec des vrais économistes, et pas avec des perroquets du dogme ultra libéral qui nous bassinent avec leur dogme imbécile depuis plus de 30 ans, les causes de cette misère galopante.
Il n’y a pas de faits sans cause.
Si toutes les démocraties, y compris l’Allemagne où il y a 12 millions de pauvres, se clochardisent toujours plus, c’est que leurs politiciens ont accepté un partage des richesses révoltant, selon la recette du pâté d’alouette.
« Une alouette » de richesses à ceux qui les produisent et « un cheval » pour les spéculateurs, banquiers et rentiers parasites en tout genre.
Une autre politique est possible mais pour que les citoyens le sachent il faudrait une Révolution dans les médias, car ceux qui connaissent les causes de la misère et ont plein de solutions à proposer, y sont interdits de séjour.
Si j’avais un seul voeu à formuler, c’est que cette révolution médiatique ait lieu en 2013 !
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