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eric 8 janvier 2013 14:15

Cet article ? RAS.
Ah si ! l’auteur est un prof barbu.
Même sans la photo, on l’aurait devine a la lecture.
De 4000 ans d’heritage judeo chretien entre autre, il a retenu que ceux qui ne pensent pas comme lui sont des pauvres d’esprit, mais aussi, il faut l’admettre qu’il leur souhaite « tous le bonheur du monde ». C’est entre autre a cela que se devine le prof. On comprends mieux notre chute dans les études PISA.

Oui mais c’est dans cette méconnaissance des milieux croyant que le prof et le barbu transparaissent le plus. Ces gens la vivent entre eux. C’est la profession la plus endogame de France. Il est excusable qu’il projetent leurs propres problèmes sur les autres faute de les connaitre. Un tiers des pratiquant cotisant a une religion en France sont des protestants et il existe des femmes pasteur dans de nombreuses églises. Chez les catho, croire que les femmes resteraient si elles étaient humiliées, c’est affirmer que ce sont des connes a plumes. La moindre prévalence du divorce chez les catho, sa sur représentation chez les profs, prouve au contraire que la relation homme femme est plus équilibrée au sein du catholicisme que dans l’éducation nationale. Dans les deux cas en effet, ce sont les femmes qui demandent le divorce.
On en peut qu’en conclure a un problème spécifique dans les rapports hommes femmes a l’éducation nationale. Cela est confirme par le fait que c’est le corps social le plus en retard en matière de parité, alors que c’est aussi celui ou elle serait le plus facile a réaliser.
On sait que l’exhibition des signes secondaires sexuels correspond souvent a un besoin de réaffirmer son identité sexuelle. On sait aussi que les profs en particulier, les fonctionnaires socialistes en général font partis de la frange la plus pileuse de la population. Au contraire, la fréquentation de la messe oblige a constater le faible nombre de barbus. C’est un fait statistique indiscutable, le catholique pratiquant est en tendance bien rase.

Ce qui est trompeur, c’est que le profs socialiste barbu, se rase quand il parvient au pouvoir. C’est un mimétisme avec les ’classes dirigeantes ? Sur les 40% de profs parmi les ministres de plein exercice, force est de constater que peu on conserve leur barbe. Mais l’explication ne se limite pas a la lutte de classe. le pouvoir est érotisant. Devenu ministre, le prof barbu n’a sans doute plus besoin de sa barbe pour espérer séduire sa secrétaire ou son attachée parlementaire ( et j’ai des noms parce que ma petite sœur a fait ce boulot).

Bref,il apparait que la solutions définitive a l’anticléricalisme inculte de nombreux profs socialistes barbus qui nous coute si cher dans la compétition internationale passe par leur passage au gouvernement. Autant dire qu’on est pas sortie de l’auberge...

A ce stade de la réflexion le prof socialiste barbu s’indigne en général de mes attaques personnelles ( traite les cathos de connards, ce n’est qu’une analyse pertinente froide et lucide), corrige mes fautes d’orthographes ( en ignorant qu’elles sont le fruit de 9 ans d’études après le bac sous de nombreux professeurs socialistes barbus) et me traite de fasciste ou d’homophobe. Il ferait mieux de se demander pourquoi il n’applique pas la formidable pertinence de son analyse de la société a sa propre catégorie sociale...Car la catégorie sociale « profs socialiste barbu » est quand même moins improbable que la catégorie catholique sur le plan sociopolitique...


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