Vous écrivez M. de Izarra, au président de la République
« ...ôter aux gavés que nous sommes une petite partie du surplus qui nous asphyxie afin d’en faire profiter les damnés... »
Mais ce n’est pas le problème du président de la République que vous soulevez. C’est le mien, parce que c’est à moi que vous voulez ôter une partie des surplus qui, paraît-il, m’asphyxient.
Et bien moi, je vous le dis tout net, c’est non ! On ne m’ôtera rien du tout sans faire usage de la force la plus extrême.
Comme nous sommes des dizaines de millions dans le même cas, je vous laisse imaginer la force qu’il faudra déployer.
Alors, si vous voulez tenter de faire avancer votre schmilblick c’est à nous tous que vous devez écrire votre lettre, et non à un chef d’Etat qui n’engagerait que lui-même, si tant est qu’il répondît à une bafouille qu’il ne lira jamais.
Je ne vous cache pas que vous vous prendrez un rateau magistral, mais ce sera bien fait pour vous, parce que vous n’avez aucun droit d’embringuer tout le monde dans votre croisade, et encore moins de disposer de nos biens, fussent-ils asphyxiants, pour satisfaire vos lubies.
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