« Pour ses promoteurs, Marseille 2013,
c’est – en vrac : « Une machine de guerre », « un accélérateur d’Euroméditerranée », un moyen « d’attirer les cadres et les touristes », si possible de « se débarrasser de la moitié de la population » et, au passage, de « gagner cinq euros [de bénéfice privé] pour un euro [d’argent public] investi »…
Les Marseillais sont censés participer aux réjouissances, se laisser bercer de bons sentiments, s’enthousiasmer pour une culture hors-sol parachutée depuis les sommets de la bureaucratie européenne et applaudir à l’éviction des cultures populaires intimement liées à ce territoire. Pour notre part, bien conscients que cette opération va se mener contre nous, nous ne serons pas les gogos de leur pseudo-événement. S’ils veulent la guerre, ils l’auront ! »
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