Personnellement, je ne pense pas que le problème réside tant dans le fait de posséder certaines choses que dans la propension humaine de vouloir posséder toujours plus, même si cela doit passer par la dépossession d’autrui. Posséder une maison pour sa propre sécurité et celle de sa famille est tout à fait compréhensible. Mais en posséder une à la ville, une à la montagne et une dernière à la campagne pour son seul plaisir alors que tant de gens peinent à se loger ne se justifie pas, à mon sens (même si on en a largement les moyens). Nous devenons alors esclaves de nos biens. La possession devient la finalité alors que ça ne devrait être qu’un moyen. Comme dans bien des domaines, c’est l’abus qui est nuisible. La coexistence de la proprieté et de la location semble être un bon compromis. POsséder son logis et louer un lieu de vacance, une fois là, une fois ici. Bref, rien de révolutionnaire en somme.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération