On attendait une commission d’éthique, on a reçu des circulaires ministérielles.
Un état chancelle quand on en ménage les mécontents. Il touche à sa ruine quand on les élève aux premières dignités (Diderot)
Comme je l’ai déjà écrit ailleurs, la question est de savoir si la loi a pour rôle d’approuver les dérives constatées dans les comportements de certains, ou bien d’en poser les limites.
Après la PMA, la GPA, et pourquoi pas les désirs incestueux, doivent-ils faire l’objet d’une loi qui les libère de l’oppression de l’interdit, ou bien au contraire, le rôle de la loi n’est-il pas plutôt de se poser en garde-fou des dérives libertaires d’une néo-sexualité sans limites ?
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