Manque de bol, Guily, Tribalat, entre autre, ont prouvé que les banlieues sont littéralement noyées sous le fric social, qu’elles sont a proximité des lieux ou l’on trouve encore des emplois, que la vraie pauvreté est ailleurs et qu’elle est plutôt moins mal vécue, même si plus prononcée. Les banlieues sont les lieux dont sont délocalisés les prolos français trop revendicatifs, trop formés, au profit de nouvelles populations corvéables a merci. Celles-ci travaillent essentiellement dans les services a la personne au profit des citadins des centre ville.
La mixité sociale a atteint ses limites. Les prolos français sont partis. Les bobos mettent leurs gosses dans le prive pour éviter a tout prix la cohabitation. Dans les quartiers du nord parisien, on voit se développer des groupes de jeunes bobo se livrant a des ratonnades.
D’un cote, c’est sympa de la part de la gauche urbaine de se préoccuper des conditions de vie de ses femmes de ménage et nounous au black. D’un autre cote, on ne peut appeler cela ni vraiment du social, ni un projet de société. En revanche, on voit bien pourquoi on souhaite donner le droit de vote aux étrangers. Vu la manière dont les gauches les financent ( tient, rien que les HLM), on comprend la hate a donner a ces tranches de population la possibilite de prouver leur reconnaissance du ventre.
L’idée qu’il ne soient pas éligible est cohérente. Qu’ils laissent faire « l’avant garde »....
Tous cela est peu respectable...
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