Tout d’abord les flics ne manquent pas de moyens pour rendre inopérationnelles les caméras de surveillance, ensuite, flics et magistrats peuvent interprétés à leur manière, pour innocenter les flics, les images de violences. Les violences peuvent se passer ailleurs que sous l’objectif de la caméra : dans la voiture des policiers, au domicile de « l’accusé », durant son « interpellation », dans l’entrée du commissariat...Je sais de quoi je parle, ayant été victime de graves (pour le moins !) violences policières, à Nice, le 1er octobre 2001 (L’affaire est devant la Cour européenne !)... C’est un simple artifice de plus visant à disculper les flics coutumiers de violences ! Je lis aussi, que les interrogatoires de personnes « interpellées » dans des affaires de « terrorisme », sont exclues de ce dispositif. On se demande bien pourquoi, même si cela ne change rien ! Mais c’est précisément dans ces affaires, que les accusés sont victimes des violences les plus graves, voire, des actes de torture (J’ai subi entre autres des séances de strangulation et le dos m’a été tailladé à coups de cutter, faits attestés par des photos certifiés, des certificats médicaux et des expertises !) de la part des policiers. Les policiers, pensant que l’accusé est coupable, ils n’ont évidemment pas à se gêner, d’autant qu’ils sont couverts par leurs syndicats, l’Igpn, leur hiérarchie, les magistrats et par les associations de défense des droits de l’homme (sic) !...
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