Rappelons en effet que l’enfant serait un tiers (et non une partie) dans un hypothétique contrat de
GPA : il n’aurait ainsi pas son mot à dire en naissant par une telle pratique (prohibée en droit
français). L’intérêt supérieur de l’enfant n’est pas une notion philosophique
mais juridique qui s’inscrit dans le droit positif. En effet, l’article
3-1 de la Convention de New York relative aux droits de l’enfant (dont la France est signataire) stipule que "dans
toutes les décisions qui concernent les enfants, qu’elles soient le
fait des institutions publiques ou privées de protection sociale, des
tribunaux, des autorités administratives ou des organes législatifs,
l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération
primordiale".
Bref, traiter un enfant comme quand on s’achète un Tamagoshi, moi ce que j’en dis ...