les grandes ecole, et la plus critiquage dans ce domaine, l’ENA, reproduisent la division du monde en deux si chère aux militaires :
D’un coté les officiers de l’autre les sous-officiers.
Dès a formation, les deux groupes sont separés par une frontiere infranchissable.
N’importe quel officier bleubite commandera toujours le plus ancien et le plus valeureux des officiers.
Le blason de la république à lui seul devrait amener à abolir cette division du monde en castes.
Pourtant elle perdure.
A part Bonaparte, aucun caporal ne peut ni ne doit devenir général dans ce systeme, quel que soit son mérite personnel.
Quand ça arrive, c’est la catasrtophe pour les généraux d’en face, comme l’a si bien illustré Bonaparte devenu Napoléon.
Les officiers de la noblesse prussienne et russe ne mettaient oas leur vielle gabardine pour aller sonder les marais la veille des batailles.
Si bien que quand une sentinelle russe l’a trouvé là, pateageant dans la boue avec un baton merdeux à la main, il ne s’est pas imaginé une seconde avoir à sa mercie l’empereur des Français...
Il en va de l’ENA comme de l’armée.
Son entrée est loin d ?etre ouverte à tous. En fait il vaux mieu avoir un papa ministre que le QI d’Einstein.
Le reste en decoule.