Le plus probable dans cette affaire trouble est que le VIH n’est en rien responsable de ce qu’on appelle le Sida.
Alors éradiquer ce virus est aussi utile qu’un cautère sur une jambe de bois.
Le Sida regroupe un ensemble de plus de 20 maladies bien connues, et si en plus on a rencontré par hasard (et probablement pas par le moindre contact sexuel) cet inoffensif virus, pas plus dangereux que la grippe, on se trouve tout soudain catapulté séropositif, et on vous bombarde un traitement hypertoxique qui va vous coller une immunodéficience sévère, dont les signes seront cette fois ceux de cette fausse maladie qu’on appelle Sida.
Ce sérodiagnostic extrêmement douteux quant à sa méthode et ses résultats peut même, s’il s’avère positif, vous conduire au traitement en l’absence de toute maladie. Si vous n’étiez pas malade auparavant, vous allez le devenir grâce aux bienfaits de la science.
Trente ans que ça dure, cette ruineuse imposture...
D’abord, un rétrovirus ne tue jamais son hôte, et le VIH en est un.
Ensuite, la caractéristique d’un virus actif est qu’on le trouve en grande quantité dans un organisme infecté, sans effort particulier. Or celui-ci, on ne le trouve pas. Il faut répliquer et multiplier certaines de ses particules pour pouvoir l’identifier : or ces particules ne lui sont pas spécifiques. Cette soi-disant identification est donc du grand n’importe quoi.
Alors on va chercher des anticorps, et avec les tests incertains dont on dispose (Elisa et Western Blot), on va en trouver. Ça veut dire quoi ? ça veut dire que l’organisme a rencontré le VIH, qu’il a fabriqué des anticorps contre lui, et qu’il s’en est débarrassé comme d’une lettre à la poste. La séropositivité n’est que la preuve d’une bonne défense, et l’absence de virus est la preuve qu’elle a fonctionné.
Les seules causes du Sida sont le matraquage du systeme immunitaire par les drogues dures (les « poppers » en particulier, ou nitrite d’amyle), et l’affaiblissement de l’organisme par une mauvaise alimentation et une mauvaise hygiène. Les vaccins ne sont pas mauvais non plus sur ce coup-là.
Montagnier dit très clairement (en simplifiant son propos) que cette maladie se guérit très bien avec... du pain et de l’eau.
Aussi cette nouvelle comme cet article ne sont que du pipeau. Mais ça va attirer des crédits : n’est-ce pas le but, depuis le début ?