Certes nous sommes tous responsables de l’état du monde en général et de la crise en particulier, mais entre le pauvre bougre qui se laisse séduire par les sirènes du Veau D’or à coup de matraquage quotidien et un de ses banquiers vereux qui ont savamment et sciemment organisé la planche savonnée sous la civilisation qui lui fera un prêt qu’il sait bien que le pauvre bougre ne pourra pas décemment rembourser, les torts sont loin très loin d’être partagés, même si ils ne sont pas évidemment tous du côté du bankster.
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