Vous mélangez tout appoline.
Le handicap, le niveau des élèves en primaire, la dette du pays.
Si la dette de la France vous inquiète à ce point, pourquoi privilégier des solutions coûteuses comme le placement en institution spécialisée (de 200 à 900 eur par jour) ?
De plus, contrairement à ce que vous affirmez, les parents sont les premiers à connaître les difficultés de leurs enfants.
La loi de 2005 est une grande avancée sur le plan des droits, reste à la faire appliquer.
Or les élus savent qu’il y a de fortes réticences de la part des enseignants à mettre en place des aménagements. Parfois même lorsque l’effort demandé est dérisoire.
Il est vrai que la plupart d’entre eux n’ont aucune formation en la matière.
Pourquoi leur donner le pouvoir de passer outre l’avis des premiers concernés ?
Quant au niveau des élèves au primaire, il n’a rien à voir avec la présence d’enfants handicapés dans les classes. La question relèverait plutôt d’une charge trop importante des programmes qui ne permet plus de mettre en place des bases solides, des rythmes scolaires trop lourds, de pédagogies peu adaptées (les activités découverte par exemple ne donnent souvent que peu de résultats), d’une formation trop peu pratique des enseignants ...etc...
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération