Ce technopouvoir bicéphale s’accommode fort bien d’un système démocratique aisément subjugable à des intérêts privés ou à quelques volontés politiques par le jeu de lobbies, de mass media sous influence.
Bonne synthèse. N’est pas manchot de la plume Mister Bwele.
Un seul reproche : phrases un tout petit peu trop longues et manque de paragraphes donnent un petit côté « étouffant » au texte. Ce qui est peut-être voulu...
Du mondial au national, l’auteur balaie les problèmes que pose l’indiscutable avancée vers ce qu’il est difficile de ne pas nommer totalitarisme mondial. Le style est personnel, les images piquantes en dépit des lourdeurs plus haut citées.
Sur le fond, une petite interrogation. L’analyse se veut distante et sagace au point d’en être un peu froide.
Une mécanique est soigneusement démonté, mais le mécano n’a pas d’avis sur sa valeur, tant sa solidité et son inéluctable perennité le fascinent et oblitèrent tout ce qui pourrait changer le régime de la machine, changer la machine, changer de.
A moins que Charles Bwele n’ait adopté la célèbre formule de Miss Maggie « There is no alternative »...
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