En réponse à :
"L’histoire se passe à Laxou, en Meurthe-et-Moselle. Un petit garçon de 10 ans a été victime de violence par sa mère lesbienne, comme il l’a expliqué au tribunal :
« En vrai, ma maman me tapait. Elle me mettait aussi la tête sous l’eau », a-t-il raconté, avant de décrire des scènes de torture où sa maman homo remplissait l’évier de la cuisine pour lui plonger la tête dedans quand elle estimait que son fils n’était pas assez sage. Et lorsqu’il refusait de s’approcher de l’évier, elle le battait simplement à coups de doigts et de pieds.
« Des fois, elle m’attachait avec des lacets. Et quand je criais, elle mettait un torchon dans ma bouche », a-t-il ajouté devant une assemblée médusée. Au début du procès, la mère a tenté de minimiser ces violences mais les absences répétées de l’enfant à l’école, lorsqu’il était confié au couple de lesbiennes, jouent en sa défaveur, surtout après les explications du garçon : « Je n’y allais pas quand j’avais trop de marques ».
Si le procureur adjoint a réclamé une peine de 18 mois de prison avec sursis, l’avocate de la mère, Me Sandrine Boudet, a exigé la relaxe, sous-entendant que le garçon aurait des préjugés homophobes sur sa propre mère ....
Pour l’avocate, il ne peut y avoir de maltraitance puisque la compagne de la mère n’a jamais rien remarqué. Et de s’interroger sur ce méchant garçon vraisemblablement homophobe : « Est-ce que l’enfant a mal vécu l’homosexualité sa mère et a voulu changer de vie en l’accusant ? », s’est interrogée Sandrine Boudet."
Madame TAUBIRA devrait prévoir des camps de rééducation pour ces petits mâles malpensants, il y a urgence. 
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération