Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.«
Benjamin FranklinBravo pour cet exposé, dont je m’étonne qu’il ait pu franchir la barrière des chiens de garde.
Vous dites :
». Qu’il s’agisse d’attentats terroristes de grande ampleur, d’une crise financière sans précédent, de l’apparition d’une terrible épidémie, ou pire, d’un conflit armé international ;..."
Mais si on y regarde de près, tous ces éléments sont en place, et ont été testés, déjà.
Le 11/9 est une répétition générale grandeur nature, la consécration d’un pseudo-terrorisme international, fabriqué et nécessaire. .
La crise financière est entièrement artificielle, spécialement crée pour parvenir au but.
La pseudo épidémie H1N1 de 2009 est une répétition de la prochaine, qui s’appellera H7N9, et sera le prétexte à l’implantation de puces RFID, dont la taille actuelle est très inférieure au millimètre.
Quand aux ascensions guerrières (Afghanistan, Irak, Libye, Syrie), elles ne sont que le prélude à l’agression sur l’Iran, le but ultime, qui provoquera l’affrontement USA-Chine-Russie, c’est-à-dire la troisième guerre mondiale, qui sera nucléaire.
Les quatre ingrédients sont donc en place, sous nos yeux, évidents et palpables.
Vous avez parlé aussi de l’aspect pyramidal de l’entreprise. Quiconque observe le billet d’un dollar comprend de quoi il s’agit. Sa partie supérieure est d’ailleurs détachée, et représente l’élite. L’œil n’est pas un artifice décoratif, mais le symbole de la surveillance totale.
Vous comprenez alors qu’il s’agit d’un projet de très longue haleine, et que sa mise en place a nécessité des générations.
J’ai cependant une bonne nouvelle : ce projet n’aboutira pas. C’est peut-être, et même probablement internet qui constitue le grain de sable fatal. On peut même espérer une nouvelle ère de fraternité, après maintes tribulations (c’est, curieusement, à peu près ce que disait l’évangile selon St Jean).
Et Satan retournera, enchaîné, sous terre d’où nous n’aurions jamais du le laisser sortir, pour mille ans.
Prenez ces dernières phrases pour une allégorie, mais tout de même, ce texte poussiéreux parait bien d’actualité.