Titre on ne peut plus naïf : pour qu’il y eut trahison, il eut fallu qu’il y ait adhésion. Or les véritables « élites » n’ont jamais considéré la démocratie comme un véritable moyen de gouverner, mais comme de la poudre aux yeux tout au plus. Si l’on devait rappeler la désormais célèbre phrase de Disraeli :
« Le monde est gouverné par des personnes bien différentes de ce qui est imaginé par ceux qui ne sont pas dans les coulisses. »
La démocratie moderne, née du renversement de la monarchie française à la suite de la révolution a été pensée justement dans ce but trompeur, et avec l’implication directe, comme en témoignent les transcriptions écrites de séances de l’Assemblée nationale de l’époque, de la franc-maçonnerie, au sein desquelles de patents aveux de certains de ses membres sont écrits noir sur blanc, même s’il y a de fortes chances pour que la franc-maçonnerie ait été plus un instrument qu’un véritable décideur dans cette affaire.
On s’essoufle à force de se répéter, mais nous n’avons jamais été en démocratie, mais en démocratie représentative, bien que ce terme soit de façon évidente un oxymore. L’absence de démocratie véritable ainsi que la corruption étant de surcroît facilitées par la délégation du pouvoir de contrôler la monnaie à des entités privées.
Que s’est-il passé pendant ces dernières décennies si ce n’est ces derniers siècles ? Entre autres l’interconnexion du système économique qui ne laisse plus sa chance à l’initiative individuelle, que ce soit par l’entremise du communisme ou de l’ultracapitalisme transfrontalier, si tant est qu’il soit encore possible de parler de frontières, le contrôle des flux économiques et financiers étant désormais régis par une poignée d’acteurs.
Si ça n’était que ça, on s’en réjouirait presque, mais plus inquiétant est sûrement l’évident programme de dépopulation qui est activement à l’oeuvre depuis maintenant quelques décennies. Le néo-matlhusianisme des « élites » des années 60 et 70, dont les citations publiques abondent (que doivent-ils se dire en privé ?), a été pudiquement passé sous silence depuis lors, mais les faits sont là, et les épandages aériens pour lesquels les plus candides refusent d’admettre de simples faits sont une des composantes principales de cette politique d’affaiblissement du système immunitaire, avant, à n’en pas douter, la combinaison d’une crise simultanée de la finance, de l’économie et l’émergence d’une petite perle virale se chargeant d’achever ce pour quoi les conditions économiques et sanitaires des précédentes décennies avaient pavé le chemin.
Démocratie amen.
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